Le 24 janvier est la « journée internationale du sport féminin ». Cette occasion permet la mise en lumière des femmes qui font le sport, notamment des arbitres, et ainsi de lutter contre de nombreuses discriminations dont elles sont victimes. En premier lieu le sexisme.
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Laure Coanus, Marion Ortis, Maxime Boubert et José Soares, quatre arbitres français de haut niveau en basket-ball, racontent leur rencontre avec les sifflets. Un coup de foudre pas toujours voulu.
Les arbitres de basket font face à une nouvelle pression : celle des médias numériques. Transformés en cibles, ils subissent un bashing systématique, au point que certains, comme Maxime Boubert, préfèrent quitter ces plateformes.
Il n'y a pas que les joueurs à avoir des superstitions. Avant chaque match, les arbitres de la Betclic Elite, Pro B et Ligue féminine suivent eux aussi des rituels. Entre chaussettes porte-bonheur ou chewing-gums fétiches, plongée dans un univers où le coup de sifflet a toujours un prélude insolite.
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